La littérature universitaire, c'est un peu
comme baiser avec une capote :
on est couverts, on se protège, on ne ressent rien.
D'autres préfèrent plonger dans l'écume.
(Si j'écris ça, c'est que j'y pense encore,
après tout ça arrive parfois, de vouloir
commenter de manière générale ou abstraite
ce qu'on éprouve, prendre du recul et analyser
le mouvement du lingam dans l'esprit frémissant
sous des flots de vagues cyprines :
plaisir de vieillard, la description.)