Il arrive souvent qu'on trouve
qu'autrui profite d'un rapport de force
opportun pour lui, sans égard pour nous,
et l'on déplore ce transfert subreptice
du pouvoir structurel sur un individu
qui devrait à nos yeux prêter plus attention
aux autres qui l'entourent, dont nous
tout particulièrement, qui sommes
puisque vaincus plus disposés
à considérer la situation en detail.
Mais est-il avéré que quiconque
vive objectivement sa vie ?
Ne voit-on pas cette réalité
que lorsqu'elle nous arrête ?
Sinon, sans mur où nous heurter,
trouvant naturel d'avancer.