C'est un livre au titre béat
qu'on croirait cité pour cela
dans l'interview d'une jeune patronnesse
donnée au journal local
au sujet de son œuvre sociale,
qui pourtant à l'ouverture se révèle
plein d'une fournaise charnelle
et d'idées immorales — mais qui sait,
ça changera peut-être d'ici la fin :
si ma leçon est qu'il faut ouvrir les livres
pour connaître les intentions de qui en parle,
sans doute aussi faut-il les finir
pour savoir ce que l'on veut en dire.